mercredi 27 Juillet
Après la Slovaquie assez déprimante, la Hongrie est plus agréable. Maintenant la descente est plein sud, l'air est plus chaud mais un peu plus humide car il y a eu beaucoup d'eau tombée recemment. C'est plus sympa le soleil refait son apparition et le short et le tee-shirt aussi. La jonction avec Jo doit se faire lundi 1er aout à Belgrade.
vendredi 29 Juillet
La journée ça va le ciel est juste gris, mais le soir depuis 2 jours il y a de l'orage, le seul abri reste la tente.
En serbie depuis ce soir, les gens sont plus fun, par contre le périple ne passera pas par la Croatie, rendez-vous à Belgrade lundi oblige......il faut avancer mais tout va bien.
Prochain message mardi sur le blog et news plus détaillées à venir (Slovaquie, Hongrie et Serbie)
Récit d'un voyage à bicyclette le long des fleuves, pour relier l'Atlantique à la mer Noire.
samedi 30 juillet 2011
lundi 25 juillet 2011
Servus
Comprenez Salut en Autrichien.
Ce sont quatre jours que j`ai passés á suivre le Danube sur le sol Autrichien. Après le temps très instable en Allemagne, c`est quotidiennement que j`ai subi des averses et le ciel gris. Le vent a tout de même été de mon côté, me poussant sur les routes pour faire des distances plus longues.
La vallée du Danube m`a donné ă voir des décors montagneux splendides sur certaines portions. La route, régulièrement goudronnée reste très fidèle au cheminement du fleuve. Jeudi matin, roulant sur la rive interne, j`ai contemplé le fameux lacet formé par le fleuve, Schlogener Schlinge, puis ai repris la route continuant sur l`autre rive grâce ă une traversée sur une barque. La sortie de Linz m`a causé quelques torts. Après être sorti du cyber-café, j`ai tenté de récupérer un pont plus au sud, malheureusement cela m`a embarqué dans une galère. Me perdant dans une vaste zone industrielle, j`ai du me frayer parmi les nombreuses voitures un chemin sans issue m`obligeant ă retourner quelques km en arrière et reprendre le tracé de l`EV6, lă même où je l`avais laissé. Affamé, je pouvais enfin me poser tranquillement au bord de l`eau pour me sustenter. C`était sans compter sur le temps. Car děs les premières bouchées, voilà que la pluie se mit en route. Je du en faire rapidement de même car l`averse se gonfla peu á peu. Manquant de lucidité en cette fin de journée, je ne fis pas que des bons choix lorsqu`ils s`en présentaient. Je me perdis, traînai en chemin, mais le soir voyant le soleil réapparaître, je fus content de me poser dans un endroit calme au bord du Danube.
Vendredi 22. Parmi un peloton de cyclo-randonneurs, j`ai slalomé et fait la course avec les péniches descendant le fleuve. La journée était clémente et légèrement humide. A Melk, empruntant la route située sur un des impressionnant barrages-écluses construit sur le courant, j`ai rejoint l`itinéraire situé au nord. La cathédrale de Melk, située rive sud, se dresse au dessus de la cime des arbres et surplombe la vallée du Danube. Le passage sur le pont permet d`admirer l`imposant édifice teinté d`une couleur jaune-orangée. Superbe. Ensuite commence la région montagneuse du Wachau. Je suis saisi par le changement rapide du décor. Aprěs Aggbach, le bas des massifs forestiers est utilisé par les maraîchers. On tombe en pleine saison des abricots et de nombreuses échoppes proposent â la vente les fruits récoltés ou préparés. Toutefois les abricotiers parsèment tellement les bords de la route, qu`il suffit de se pencher pour faire une bonne dégustation. Ajoutant au charme de cette traversée les villages croisés sont typiques avec ruelles et maisons aux couleurs pastels. Wachau, c`est aussi une région viticole. Surtout après Spitz, on roule au beau milieu des coteaux. Les rangées de vigne, hautes et bien alignées, sont apparemment totalement cultivées ă la main. Pour clore un des plus beau passage autrichien, une légère ascension atteint les hauteurs de Durnstein. La vue sur la vallée parcourue est époustouflante. Le soleil illumine a présent ce splendide panorama.
Je stoppe cette étape auprès du parcours, sous le soleil encore présent. Plus qu`une cinquantaine de km pour atteindre la capitale Vienne.
Samedi 23. En arrivant dans la capitale, je n`ai pas une bonne impression concernant la population autrichienne. Les personnes croisées ces jours-ci ont affiché des visages fermés et n`ont témoigné ă mon passage que peu d`amabilité. Ça change de l`accueil allemand. Gardant une mauvaise expérience des parcours vélo en ville, je ne compte pas trop m`attarder dans Wien. Les parcours et voies cyclables sont cependant bien structurés. L`accès dans le centre est long, je visite un quartier et me retrouve dans l`immense parc du Prater. Une fête foraine bât son plein. Puis revient la pluie. Abrité sous le feuillage d`un arbre il est temps de faire une pause déjeuner. Quelques promeneurs passent puis arrive Jožo, juché sur un vieux vélo bricolé et transportant du matériel dernière-main. Il parle beaucoup, un peu trop en Slovaque d`ailleurs. Il est amical et on parvient â échanger quelques informations. Un peu anarchiste et sûrement sans-abri, il vit à 43 ans traînant sur sa monture entre Vienne et Bratislava. Pour le moment sa roue avant est à plat. Je viens à son aide avec les fournitures de réparation que je possède. Une première manoeuvre sans succès, une seconde avec rustine puis le vieux matériel est enfin opérationnel. On se salue et il repart à ses occupations. Moi aussi. Je m`engage alors pour quitter Vienne. Passe un Zoo, le Stadion et le Danube.
Il est 15 heure 30 quand abasourdi par le spectacle se déroulant sous ce pont d`autoroute ... je m'arrête pour écrire quelques notes dans le petit carnet de voyage. Mais à son tour, Gloria vient m`arrêter. Elle est très charmante et sympathique. Etant interprète, elle parle bien le français et son enthousiasme festif ne met pas longtemps pour me convaincre de les rejoindre. Ils sont un peu moins d`une trentaine de jeunes gens. Au rythme de la musique électro, une véritable free-party est organisée cet après midi pour célébrer, à leur manière, les 24 ans de Boris. Quelle chance pour moi de tomber parmi un groupe dont plusieurs parlent français. Parmi diverses nationalités je me joins à la fête qui se prolongera tard dans la nuit dans une co-location. Gloria fait preuve d'un grand sens de l'hospitalité et m`a dès le départ proposé de loger chez elle pour la nuit. Je passe un moment mémorable et découvre un peu Vienne et ses moeurs.
Dimanche 24. Autour d`un petit dej` copieux préparé par mon hôtesse, la discussion est forte intéressante. Je suis bien tombé. Malheureusement, nous devons nous séparer assez tôt car Gloria doit rejoindre sa famille. Dans l`empressement je n`ai pas pris les informations pour savoir quelle direction suivre. Il est 10 heures et je me retrouve abandonné dans les rues inconnues de cette vaste ville. Suivant mon instinct mais surtout la descente naturelle, je parviens à rejoindre l`endroit d'où j`avais atteint la veille le centre-ville. J`observe en passant l`architecture viennoise puis, re-belotte, retrouve le parc Prater. En ce dimanche matin, le grand boulevard qui traverse cette étendue de verdure, voit s`exprimer toute sorte d`efforts physiques. Je m`arrête, observe, salue les visages sympathiques puis repars, passe le Danube et sors de la ville. Sur plusieurs km de routes rectilignes tracées au sein du Nationalpark, je récupère peu à peu de la soirée. Mon cerveau reste un peu mou tout de même. Le vent dans le dos, j`avance en sifflant quelques airs musicaux, direction la Slovaquie. La pluie refait son apparition alors que j`atteins les derniers bourgs autrichiens. Mouillé, je passe une nouvelle frontière mieux matérialisée cette fois-ci mais toujours libre de tout contrôle. Peu après, situé juste avant la capitale slovaque, une foret s`étend sur la rive sud du Danube, face à un quartier de la ville. Coin peinard au bord du fleuve pour un bivouac.
Lundi 25. Slovaquie me voici (sous le ciel gris) - Slovakia m`y voilă (ă Bratislava)
Salutations de voyage,
Thomas
Ce sont quatre jours que j`ai passés á suivre le Danube sur le sol Autrichien. Après le temps très instable en Allemagne, c`est quotidiennement que j`ai subi des averses et le ciel gris. Le vent a tout de même été de mon côté, me poussant sur les routes pour faire des distances plus longues.
La vallée du Danube m`a donné ă voir des décors montagneux splendides sur certaines portions. La route, régulièrement goudronnée reste très fidèle au cheminement du fleuve. Jeudi matin, roulant sur la rive interne, j`ai contemplé le fameux lacet formé par le fleuve, Schlogener Schlinge, puis ai repris la route continuant sur l`autre rive grâce ă une traversée sur une barque. La sortie de Linz m`a causé quelques torts. Après être sorti du cyber-café, j`ai tenté de récupérer un pont plus au sud, malheureusement cela m`a embarqué dans une galère. Me perdant dans une vaste zone industrielle, j`ai du me frayer parmi les nombreuses voitures un chemin sans issue m`obligeant ă retourner quelques km en arrière et reprendre le tracé de l`EV6, lă même où je l`avais laissé. Affamé, je pouvais enfin me poser tranquillement au bord de l`eau pour me sustenter. C`était sans compter sur le temps. Car děs les premières bouchées, voilà que la pluie se mit en route. Je du en faire rapidement de même car l`averse se gonfla peu á peu. Manquant de lucidité en cette fin de journée, je ne fis pas que des bons choix lorsqu`ils s`en présentaient. Je me perdis, traînai en chemin, mais le soir voyant le soleil réapparaître, je fus content de me poser dans un endroit calme au bord du Danube.
Linz. Rien a voir avec le chocolat car deja ca ne s`ecrit pas pareil |
Arrivée a St Pantaleon quand le soleil refait son apparition |
Vendredi 22. Parmi un peloton de cyclo-randonneurs, j`ai slalomé et fait la course avec les péniches descendant le fleuve. La journée était clémente et légèrement humide. A Melk, empruntant la route située sur un des impressionnant barrages-écluses construit sur le courant, j`ai rejoint l`itinéraire situé au nord. La cathédrale de Melk, située rive sud, se dresse au dessus de la cime des arbres et surplombe la vallée du Danube. Le passage sur le pont permet d`admirer l`imposant édifice teinté d`une couleur jaune-orangée. Superbe. Ensuite commence la région montagneuse du Wachau. Je suis saisi par le changement rapide du décor. Aprěs Aggbach, le bas des massifs forestiers est utilisé par les maraîchers. On tombe en pleine saison des abricots et de nombreuses échoppes proposent â la vente les fruits récoltés ou préparés. Toutefois les abricotiers parsèment tellement les bords de la route, qu`il suffit de se pencher pour faire une bonne dégustation. Ajoutant au charme de cette traversée les villages croisés sont typiques avec ruelles et maisons aux couleurs pastels. Wachau, c`est aussi une région viticole. Surtout après Spitz, on roule au beau milieu des coteaux. Les rangées de vigne, hautes et bien alignées, sont apparemment totalement cultivées ă la main. Pour clore un des plus beau passage autrichien, une légère ascension atteint les hauteurs de Durnstein. La vue sur la vallée parcourue est époustouflante. Le soleil illumine a présent ce splendide panorama.
Veritable harcelement tout au long du parcours autrichien, avec des pancartes pour attirer les cyclo-touristes |
Schlogener Schlinge, mais il est dur d`en avoir une meilleure vision sans survoler le lieu |
Sur les hauteurs de Durnstein |
Je stoppe cette étape auprès du parcours, sous le soleil encore présent. Plus qu`une cinquantaine de km pour atteindre la capitale Vienne.
Jožo, le cyclo-errant |
Gloria |
Free-party entre amis |
Ambiance viennoise psychédélique |
De nombreux tags ornent les murs face aux cours d`eau |
Portions rectiligne pour quitter l`Autriche |
Hainburg, peu avant la frontière slovaque |
Salutations de voyage,
Thomas
jeudi 21 juillet 2011
Fin de la partie Allemande.
Après avoir quitté Regensbourg j'ai décidé d'augmenter mon rythme de voyage. Les deux dernières étapes roulées en Bavière dépassent chacune 100 km. Ce jeudi, c'est de Linz, en Autriche que je prend le temps de vous relater les derniers jours allemands.
Mardi 19 juillet. La fin d'après-midi est une lutte pour avancer au mieux face au vent et au mauvais temps qui est réapparu. Après avoir fait quelques provisions et puisé de l'eau dans un cimetière, je fini tranquillement cherchant au fil du chemin, un coin accueillant auprès du Donau. Les km s'additionnent, il est déjà 20 heures. C'est alors que je m'engage dans un sentier rejoignant le fleuve, voyant au bout, en bordure de champ, un endroit potentiel de camping. Vélo enfin posé, je m'avance pour contempler les eaux, et à ma surprise découvre en contre-bas une avancée de galet. L'accès, non sans peine via des marches de pierres instables, me dévoile une belle surprise. Les galets s'étendent assez loin sur la rive formant une véritable plage sauvage avec quelques touffes vertes disséminées. Lieux de rêve après une journée fatiguante, j'y descend mon vélo et déniche le meilleur emplacement. Je suis en transe. L'endroit est au-delà de mes espérances. Je me remet alors de mes émotions en plongeant dans le Danube. Un bain bien mérité. Tout en séchant devant le paysage, je continue ma découverte des bières allemandes. La nuit s'installe peu à peu. Je profite d'un tas de petits bois empilés pas très loin, pour préparer quelques braises afin de griller les saucisses allemandes. Les 14 petites "Nürnberger Rostbratwürstchen" seront englouties au fil de la soirée, devant un feu de camp claquant avec l'humidité résiduelle du bois.
Orage dans la nuit. Avec les bouchons d'oreilles, je dors confortablement. Pendant ce temps la pluie ne cesse de tomber et au matin le fleuve s'est gonflé et passe plus près de la tente que la veille.
Mercredi 20 juillet. Le rangement quotidien, après le petit déjeuner, voit démarrer une pluie fine. Le ciel est bien gris ce jour. Peu à peu sa teinte devient sombre et la pluie finalement bien fournie. Je peste à Bogen, où à cause d'un défaut d'indication, je sillonne les alentours perdant une dizaine de km à retrouver la bonne direction!! Content des routes goudronnées, j'avance sous un mauvais temps bien installé. A 15h, pétri de froid et amplement mouillé, je trouve refuge dans un club de voile. Le lieux est désert mais tables, chaises et électricité sont à disposition. Face à Vilshofen, située sur l'autre rive, une soupe chaude est à peine suffisante pour me réchauffer. Rapidement je reprend ma route en espérant bien finir la partie allemande ce jour. Je suis dans les temps à Passau. Sise sur un carrefour fluvial, la ville présente un attrait historique. Je profite d'un passage en ville pour me balader dans de belles ruelles colorées et en admire le patrimoine architectural.
Passau et le Danube |
Retrouvant ensuite les chemins au nord du Danube, j'ai alors admiré sa robustesse et la beauté de sa vallée montagneuse. Le fleuve, gonflé par les eaux de l'Inn (et de l'Ilz), serpente admirablement entre les deux pays voisins. Malgré le mauvais temps persistant, je roule enjoué par ce décor grandiose. Se faisant face, les reliefs (montagnes recouvertes d'arbres) allemands rivalisent de beauté avec ceux, autrichiens, situés de l'autre côté du fleuve. Roulant au centre de ce théâtre je ne baisse plus la tête jusqu'à m'apercevoir que je roule en Autriche depuis une centaine de mètres.
Au poste frontière, bien grand nom pour de simples pancartes informatives, se trouve une cabane en bois ouverte face au fleuve ; côté allemand. Elle est assez grande pour un abri et contient un banc. La pluie s'est enfin calmée mais le ciel reste menaçant. Je trouve là un confortable "pied-à-terre" et m'y installe pour passer la nuit. Première fois que je vais dormir en extérieur sous un vrai toit. Encore une fois je me réjouis d'un tel luxe pour ma situation. Je passe une bonne soirée, sec, à contrôler les rares voitures franchissant la frontière à cet endroit perdu en campagne. Me confectionne un coin couchette, si bien que je m'endors en ayant l'impression d'être allongé dans un vrai lit.
La suite en Autriche pour 3 jours de parcours.
A bientôt
Certains passages obligent à différentes traversées |
mardi 19 juillet 2011
Le plat Danube gris sur un air de la Marseillaise.
Coucou! Me voici rendu dans une des villes médiévales allemandes les mieux conservées : Regensburg. Sous le soleil, enfin présent, la ballade dans le centre me fait admirer de belles façades colorées ainsi que des monuments en tout genre.
Déjà 2000 km de parcouru, la moitié de mon voyage est marquée par une première crevaison. La roue arrière manque d'air, le sol se fait sentir. Je regonfle d'abord la chambre à air puis un quart d'heure plus loin, me résigne à la changer! Très bien, mais un peu plus loin voilà que je m'aperçois que l'antivol s'est fait la malle... En y songeant, je me revois le poser dans l'herbe ce matin... mais pas le reprendre!! Les aléas du voyage...
SVP madame, pourriez-vous me laver ceci...?! |
Ouuuh ouh |
Autre inconvénient de la vie en extérieur : le mauvais temps. Plusieurs précipitations sont passées ce week-end et lundi. J'ai dû lutter contre les affres du ciel pour avancer au mieux. Pluie et vent frais m'ont parfois désabusé mais sans jamais altérer ma volonté de continuer cette belle aventure. Les apparitions du soleil m'offrant le loisir, après chaque averses, de sécher les affaires trempées.
Nid de cigogne reposant sur le fleuve |
Coin champêtre, à l'abri entre deux érables |
Un des passages de l'EurovéloRoots |
L'Eurovéloroute 6, comme son nom l'indique, tient à empreinter au maximum les chemins goudronnés. Il se trace alors, bien trop souvent à mon goût, sur des pistes cyclables longeant les routes pour véhicules motorisés. Passant de villes ou villages, en villages, les dénivelés du relief rendent le pédalage plus éprouvant. De plus on ne côtoie de près le fleuve qu'à de rares occasions. Ainsi dimanche, jour de repos, les lieux étaient désertiques et peu attrayants. Sous un ciel gris tenace, c'en était de trop! Boudant l'itinéraire officiel, j'ai alors composé mon propre trajet le long du Danube, pour retrouver un parcours plus "roots". Sur les chemins de digue plats bordant le fleuve, j'ai alors pu observer la faune et la flore de la vallée du fleuve. Malheusement, en m'aventurant dans certains sentiers non balisés j'ai à quelques reprises été contraint de faire marche arrière. C'est l'inconvénient de ne (toujours) pas avoir de carte...
Sentier aménagé sur la digue du fleuve, avec indication des km restants... |
La marseillaise, car dorénavant j'en maîtrise la mélodie à l'harmonica, mais surtout pour les dernières rencontres faites au fil de l'eau. Suivant les mêmes directions du fleuve j'ai fait connaissance de groupes de compatriotes. Une famille de Strasbourgeois assistés d'un camping-car ; 2 couples d'amis bretons ; un couple en tandem coloré à 3 roues!! Faisant tous un bout de route le long du fleuve nous avons échangé nos expériences et lié des amitiés autour de ce mode de voyage. J'ai aussi rencontré nombre d'allemands, malheureusement mon parlé allemand étant trop basique, il est alors difficile de tenir une conversation plus poussée.
Pause café entre bretons |
Wini et Dago se baladant avec Ernesto, leur Tandem coloré |
A bientôt, Tchüss
Soirée passée à la Seefest de Peterswörth, puis nuit à côté auprès d'un étang |
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